Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida porte sur le silence des artistes français et du champ des arts plastiques face à l’épidémie du sida au début des années 1990 en France. Revenant sur la trajectoire de Michel Journiac, sur une constellation d’artistes qui lui furent liés et sur un projet d’exposition qui n’a pas vu le jour, cet essai resitue le travail de l’artiste dans le contexte des années 1980 et 1990, «années d’hiver» y compris pour l’art, et plus généralement dans le mouvement de l’«art corporel» et la recherche de formes d’activisme artistique.
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida porte sur le silence des artistes français et du champ des arts plastiques face à l’épidémie du sida au début des années 1990 en France. Revenant sur la trajectoire de Michel Journiac, sur une constellation d’artistes qui lui furent liés et sur un projet d’exposition qui n’a pas vu le jour, cet essai resitue le travail de l’artiste dans le contexte des années 1980 et 1990, «années d’hiver» y compris pour l’art, et plus généralement dans le mouvement de l’«art corporel» et la recherche de formes d’activisme artistique.