Depuis quelque temps le personnage de ma grand-mère italienne, ce que je savais d’elle, mais surtout ce que je ne savais pas, pas bien, me tirait par la manche, faisait des apparitions dans mes livres. J’ai voulu voir de plus près. Je suis allée à Turin, où elle s’était rendue dans les années 30, en plein régime mussolinien, pour accoucher de son deuxième enfant, accompagnée du premier-né, Primo, qui disparut alors mystérieusement. Je suis allée à Annecy où l’empoigna un autre drame, à la Libération, en pleine fête du 14 Juillet. À Annecy où elle est morte au début du troisième millénaire.
Depuis quelque temps le personnage de ma grand-mère italienne, ce que je savais d’elle, mais surtout ce que je ne savais pas, pas bien, me tirait par la manche, faisait des apparitions dans mes livres. J’ai voulu voir de plus près. Je suis allée à Turin, où elle s’était rendue dans les années 30, en plein régime mussolinien, pour accoucher de son deuxième enfant, accompagnée du premier-né, Primo, qui disparut alors mystérieusement. Je suis allée à Annecy où l’empoigna un autre drame, à la Libération, en pleine fête du 14 Juillet. À Annecy où elle est morte au début du troisième millénaire.