«Un matin qu’ils étaient allés voir la rivière en crue, Joseph avait dit à Ménile, mon vieux, je n’ai que toi. Moi aussi, garçon, lui avait dit Ménile.»
En 1943, sous l’Occupation, deux jeunes hommes entrent dans la Résistance. L’un est tenu par son sens du devoir et de la précision, l’autre veut dépasser la bête de somme qu’il a été jusqu’alors. Ce qu’ils sont, et ce qui les unit, va passer au révélateur puissant des combats. En peu de mots, dans une distance qui fait songer au cinéma de Bresson, tout le tragique de l’espèce humaine en temps de guerre.
«Un matin qu’ils étaient allés voir la rivière en crue, Joseph avait dit à Ménile, mon vieux, je n’ai que toi. Moi aussi, garçon, lui avait dit Ménile.»
En 1943, sous l’Occupation, deux jeunes hommes entrent dans la Résistance. L’un est tenu par son sens du devoir et de la précision, l’autre veut dépasser la bête de somme qu’il a été jusqu’alors. Ce qu’ils sont, et ce qui les unit, va passer au révélateur puissant des combats. En peu de mots, dans une distance qui fait songer au cinéma de Bresson, tout le tragique de l’espèce humaine en temps de guerre.