En persan « mille maisons » désigne le labyrinthe, cette étendue où issue et impasse se confondent ; le temps s’arrête, l’obscurité et la terreur s’installent. Et la moindre tache blanche évoque le soleil.
Au temps des dictatures, Kaboul et l’Afghanistan tout entier n’étaient-ils pas cette étendue, ce labyrinthe ?
Cinq personnages pris dans la nasse essaient d’échapper à la terreur par l’ivresse ou la folie, par la mort, par l’amour.
En persan « mille maisons » désigne le labyrinthe, cette étendue où issue et impasse se confondent ; le temps s’arrête, l’obscurité et la terreur s’installent. Et la moindre tache blanche évoque le soleil.
Au temps des dictatures, Kaboul et l’Afghanistan tout entier n’étaient-ils pas cette étendue, ce labyrinthe ?
Cinq personnages pris dans la nasse essaient d’échapper à la terreur par l’ivresse ou la folie, par la mort, par l’amour.