La théorie sociologique et les cultural studies ont facilement évincé, sous prétexte d’élitisme et d’archaïsme, les positions de Theodor W. Adorno, philosophe majeur de l’Ecole de Francfort et pourfendeur du formatage, de la musique légère et de la Kulturindustrie. Malheureusement, les conséquences de ces attaques en partie justifiées sont celles d’un certain relativisme, selon lequel la musique pop ne serait qu’un objet de consommation comme les autres. Elle continue donc d’être déconsidérée par ceux qui se préoccupent de formes artistiques apparemment moins dépendantes des circuits médiatiques.
La théorie sociologique et les cultural studies ont facilement évincé, sous prétexte d’élitisme et d’archaïsme, les positions de Theodor W. Adorno, philosophe majeur de l’Ecole de Francfort et pourfendeur du formatage, de la musique légère et de la Kulturindustrie. Malheureusement, les conséquences de ces attaques en partie justifiées sont celles d’un certain relativisme, selon lequel la musique pop ne serait qu’un objet de consommation comme les autres. Elle continue donc d’être déconsidérée par ceux qui se préoccupent de formes artistiques apparemment moins dépendantes des circuits médiatiques.