À la question « qu’est-ce que la poésie ? » Georges Castera Fils répondait (en créole) : « C’est des paroles semées pour culbuter le malheur. » Avec ses fragments intimes et universels, l’auteure franco-rwandaise fait danser les mots de trop, les mots pagailles, les mots abandonnés de son imaginaire décolonisé clair-obscur. Ce premier recueil de poésie « Après le Progrès » se déploie dans une langue savoureuse pour dire avec la même délicatesse le violent ressac de la vie, de sa vie, entre hier et demain, entre les désirs de vie et le coût de la survie, entre là-bas et ici.
À la question « qu’est-ce que la poésie ? » Georges Castera Fils répondait (en créole) : « C’est des paroles semées pour culbuter le malheur. » Avec ses fragments intimes et universels, l’auteure franco-rwandaise fait danser les mots de trop, les mots pagailles, les mots abandonnés de son imaginaire décolonisé clair-obscur. Ce premier recueil de poésie « Après le Progrès » se déploie dans une langue savoureuse pour dire avec la même délicatesse le violent ressac de la vie, de sa vie, entre hier et demain, entre les désirs de vie et le coût de la survie, entre là-bas et ici.