Découvrez autrement les invités du festival, les livres qu’ils écrivent et les librairies de la Métropole : coordonnée par des étudiants, animée par des lycéens et encadrée par des professionnels du son, la webradio Villa Voice propose des interviews en direct, des chroniques, des reportages, en public depuis la scène radio installée ce jeudi à la Bibliothèque municipale de Lyon.
Jón Kalman Stefánsson : « Pour moi la littérature est aussi par conséquent un moyen de lutter contre le fascisme et le populisme parce que la littérature nous rappelle que nous vivons dans un monde, sur une planète, si vous êtes dans l’espace et que vous voyez la terre, vous ne voyez pas de frontière. »
Eleanor Catton : « La manière dont l’endroit dans lequel on a grandi s’imprime en nous, c’est un processus qui est assez mystérieux et c’est un processus qui échappe à votre contrôle. C’est quelque chose que l’on découvre en grandissant et en prenant de la distance. »
Wilfried N’Sondé : « Nous avons besoin d’apprendre, chacun de nous est bourré de certitudes, il faut secouer toutes ces certitudes pour inventer de nouveaux récits et créer de nouveaux regards. »
Découvrez autrement les invités du festival, les livres qu’ils écrivent et les librairies de la Métropole : coordonnée par des étudiants, animée par des lycéens et encadrée par des professionnels du son, la webradio Villa Voice propose des interviews en direct, des chroniques, des reportages, en public depuis la scène radio installée ce jeudi à la Bibliothèque municipale de Lyon.
Jón Kalman Stefánsson : « Pour moi la littérature est aussi par conséquent un moyen de lutter contre le fascisme et le populisme parce que la littérature nous rappelle que nous vivons dans un monde, sur une planète, si vous êtes dans l’espace et que vous voyez la terre, vous ne voyez pas de frontière. »
Eleanor Catton : « La manière dont l’endroit dans lequel on a grandi s’imprime en nous, c’est un processus qui est assez mystérieux et c’est un processus qui échappe à votre contrôle. C’est quelque chose que l’on découvre en grandissant et en prenant de la distance. »
Wilfried N’Sondé : « Nous avons besoin d’apprendre, chacun de nous est bourré de certitudes, il faut secouer toutes ces certitudes pour inventer de nouveaux récits et créer de nouveaux regards. »