Modération : Clémentine Goldszal (Le Monde/ELLE).
Exilé d’Érythrée dans les années 1970, passé par les camps de réfugiés soudanais et l’Arabie saoudite avant de rejoindre le Royaume-Uni, Sulaiman Addonia (Le silence est ma langue natale, La croisée, 2022. trad. Laurent Bury) est l’un des grands noms de la l’écriture de l’exil anglo-saxonne. Il est aujourd’hui à la tête d’une formation d’écriture créative pour les réfugiés à Bruxelles et du festival Asmara-Addis en Exil, dédié aux récits d’exil. Antoine Wauters poursuit à travers Mahmoud ou la Montée des eaux (Verdier, 2021) et plus récemment Le Musée des contradictions (Éditions du Sous-Sol, 2022) une exploration de la forme, de la langue, et de la capacité de la littérature à dire la puissance des sentiments humains par-delà la guerre ou le déracinement. De la Syrie en guerre à un camp de réfugiés au Soudan, les personnages de leurs romans sont les poètes d’une histoire contemporaine de l’exil.
Modération : Clémentine Goldszal (Le Monde/ELLE).
Exilé d’Érythrée dans les années 1970, passé par les camps de réfugiés soudanais et l’Arabie saoudite avant de rejoindre le Royaume-Uni, Sulaiman Addonia (Le silence est ma langue natale, La croisée, 2022. trad. Laurent Bury) est l’un des grands noms de la l’écriture de l’exil anglo-saxonne. Il est aujourd’hui à la tête d’une formation d’écriture créative pour les réfugiés à Bruxelles et du festival Asmara-Addis en Exil, dédié aux récits d’exil. Antoine Wauters poursuit à travers Mahmoud ou la Montée des eaux (Verdier, 2021) et plus récemment Le Musée des contradictions (Éditions du Sous-Sol, 2022) une exploration de la forme, de la langue, et de la capacité de la littérature à dire la puissance des sentiments humains par-delà la guerre ou le déracinement. De la Syrie en guerre à un camp de réfugiés au Soudan, les personnages de leurs romans sont les poètes d’une histoire contemporaine de l’exil.