Dans La Nuit ravagée (Gallimard, 2025), Jean-Baptiste Del Amo emploie les outils de la fiction horrifique pour sonder la part obscure des êtres. Guadalupe Nettel, dans Après l’hiver (Buchet Chastel, 2016, trad. François Martin) ou L’Oiseau rare (Dalva, 2021, trad. Joséphine de Wispelaere), convoque des personnages hantés par l’étrangeté de leurs corps ou celle du monde. Conversation avec deux auteurs qui jouent sur les motifs de la hantise et de l’incongru pour interroger les blessures et les contradictions de l’époque.
Dans La Nuit ravagée (Gallimard, 2025), Jean-Baptiste Del Amo emploie les outils de la fiction horrifique pour sonder la part obscure des êtres. Guadalupe Nettel, dans Après l’hiver (Buchet Chastel, 2016, trad. François Martin) ou L’Oiseau rare (Dalva, 2021, trad. Joséphine de Wispelaere), convoque des personnages hantés par l’étrangeté de leurs corps ou celle du monde. Conversation avec deux auteurs qui jouent sur les motifs de la hantise et de l’incongru pour interroger les blessures et les contradictions de l’époque.