Jonathan Coe, à travers ses écrits virulents, tend un miroir à la société britannique dont il dresse une fresque critique et satirique. Ses romans se caractérisent également par une recherche formelle poussée, concernant notamment la technique de narration. Il est l’auteur de plusieurs nouvelles, essais et romans dont Testament à l’anglaise (Gallimard, 1995), critique gothique du tchatchérisme, qui obtient en 1996 le prix du Meilleur livre étranger, propulsant sa carrière d'écrivain.