- Saison 2023/2024 ,
- Saison 2024/2025
Michel Lussault est géographe et professeur à l’École Normale Supérieure de Lyon. En 2017, il crée l’École urbaine de l’université de Lyon, dont il est le directeur, devenue depuis Cité Anthropocène. Expert reconnu du champ des études urbaines et urbanistiques, il est l’auteur depuis 1990 de plus de 110 articles scientifiques et de nombreux ouvrages dont Hyper-lieux (Seuil, 2017) ou encore Chroniques de géo’ virale (Éditions 205, 2020). Il est également très impliqué dans des activités de mise en débat public des savoirs et de médiation scientifique. Il préside depuis 2016 la Villa Gillet. Il examine dans son dernier ouvrage Cohabitons ! – Pour une nouvelle urbanité terrestre (Seuil, 2024) les conditions d’habitation des espaces terrestres vulnérables ayant pour cause les changements climatiques. À rebours d’un “retour à la nature”, il explore au contraire les liens entre les vivants humains et non-humains et la matérialité de leurs habitats.
Légende et crédits photo : Michel Lussault Michel Lussault est géographe et professeur à l’École Normale Supérieure de Lyon. En 2017, il crée l’École urbaine de l’université de Lyon, dont il est le directeur, devenue depuis Cité Anthropocène. Le festival Mode d'emploi à l'hotel de la metropole Lyon le 14 novembre 2024
Michel Lussault est géographe et professeur à l’École Normale Supérieure de Lyon. En 2017, il crée l’École urbaine de l’université de Lyon, dont il est le directeur, devenue depuis Cité Anthropocène. Expert reconnu du champ des études urbaines et urbanistiques, il est l’auteur depuis 1990 de plus de 110 articles scientifiques et de nombreux ouvrages dont Hyper-lieux (Seuil, 2017) ou encore Chroniques de géo’ virale (Éditions 205, 2020). Il est également très impliqué dans des activités de mise en débat public des savoirs et de médiation scientifique. Il préside depuis 2016 la Villa Gillet. Il examine dans son dernier ouvrage Cohabitons ! – Pour une nouvelle urbanité terrestre (Seuil, 2024) les conditions d’habitation des espaces terrestres vulnérables ayant pour cause les changements climatiques. À rebours d’un “retour à la nature”, il explore au contraire les liens entre les vivants humains et non-humains et la matérialité de leurs habitats.