Igiaba Scego est une écrivaine italienne d’origine somalienne née à Rome en 1974. Ses parents somaliens se sont réfugiés en Italie pour fuir le pays après le coup d’État de Siad Barre en 1969. Après des études en langues et littératures étrangères, elle obtient un doctorat en pédagogie. Igiaba Scego a écrit un récit, trois romans et des articles dans les journaux politiques La Republica et Il Manifesto. En 2003, elle reçoit le prix Eks&Tra pour son premier récit Salcisse et publie la même année son premier roman La nomade che amava Alfred Hitchcock. Elle contribue régulièrement à des revues italiennes de littérature de migration et de littérature africaine. En 2022, La ligne des couleurs (Dalva, 2022, trad. Anaïs Bouteille-Bokobza) est son premier roman traduit en français, deux ans après sa parution originale. Le roman relate l’histoire d’une peintre noire dans le Rome de 1887 et aborde les sujets de l’immigration, de la politique et de l’histoire de l’Italie.
Légende et crédits photo : Igiaba Scego © Simona Filipini, Dalva
Igiaba Scego est une écrivaine italienne d’origine somalienne née à Rome en 1974. Ses parents somaliens se sont réfugiés en Italie pour fuir le pays après le coup d’État de Siad Barre en 1969. Après des études en langues et littératures étrangères, elle obtient un doctorat en pédagogie. Igiaba Scego a écrit un récit, trois romans et des articles dans les journaux politiques La Republica et Il Manifesto. En 2003, elle reçoit le prix Eks&Tra pour son premier récit Salcisse et publie la même année son premier roman La nomade che amava Alfred Hitchcock. Elle contribue régulièrement à des revues italiennes de littérature de migration et de littérature africaine. En 2022, La ligne des couleurs (Dalva, 2022, trad. Anaïs Bouteille-Bokobza) est son premier roman traduit en français, deux ans après sa parution originale. Le roman relate l’histoire d’une peintre noire dans le Rome de 1887 et aborde les sujets de l’immigration, de la politique et de l’histoire de l’Italie.