Georges Didi-Huberman est philosophe et historien de l’art, né en 1953 à Saint-Etienne. Il a fait des études d’histoire de l’art et de philosophie à l’Université de Lyon puis un doctorat en sociologie et sémiologie des arts et des littératures (1981) à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), où il enseigne depuis 1990. Il a enseigné dans de nombreuses universités à l’étranger et organisé plusieurs expositions en Europe, Amérique et Asie. Il a publié une soixantaine d’ouvrages sur l’histoire et la théorie des images, depuis la Renaissance jusqu’à l’art contemporain, ainsi que sur les notions d’imagination politique (notamment dans la série intitulée Ce qui nous soulève, aux Éditions de Minuit). Ses derniers ouvrages traitent de la question des émotions ou de ce qu’il nomme les « faits d’affects » : Brouillards de peines et de désirs et, récemment, La Fabrique des émotions disjointes (Les Éditions de Minuit, 2023-2024). Il a été accueilli à plusieurs reprises à la Villa Gillet, comme lors des Assises Internationales du Roman en 2018 sur le thème “puissances des images, pouvoir du langage”, en dialogue avec Jean Birnbaum. Son dernier essai sur les émotions porte sur les processus de pouvoir et de contre-pouvoir dont les affects sont l’objet sous différents régimes (totalitaires ou capitalistes).
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Georges Didi-Huberman est philosophe et historien de l’art, né en 1953 à Saint-Etienne. Il a fait des études d’histoire de l’art et de philosophie à l’Université de Lyon puis un doctorat en sociologie et sémiologie des arts et des littératures (1981) à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), où il enseigne depuis 1990. Il a enseigné dans de nombreuses universités à l’étranger et organisé plusieurs expositions en Europe, Amérique et Asie. Il a publié une soixantaine d’ouvrages sur l’histoire et la théorie des images, depuis la Renaissance jusqu’à l’art contemporain, ainsi que sur les notions d’imagination politique (notamment dans la série intitulée Ce qui nous soulève, aux Éditions de Minuit). Ses derniers ouvrages traitent de la question des émotions ou de ce qu’il nomme les « faits d’affects » : Brouillards de peines et de désirs et, récemment, La Fabrique des émotions disjointes (Les Éditions de Minuit, 2023-2024). Il a été accueilli à plusieurs reprises à la Villa Gillet, comme lors des Assises Internationales du Roman en 2018 sur le thème “puissances des images, pouvoir du langage”, en dialogue avec Jean Birnbaum. Son dernier essai sur les émotions porte sur les processus de pouvoir et de contre-pouvoir dont les affects sont l’objet sous différents régimes (totalitaires ou capitalistes).