Elise Fontenaille est née à Nancy, au dernier millénaire.
Elle a fait de vagues études de sociologie et d’anthropologie à Toulouse et Bordeaux, avant de monter à la capitale, où elle est devenue journaliste, par hasard. Pendant une parenthèse captivante de deux années, elle vit et travaille à Vancouver, sur la côte ouest du Canada, puis elle rentre à Paris.
Après avoir donné naissance à deux enfants et s’être fait renvoyer de son journal, elle profite du chômage pour se lancer dans l’écriture d’un roman extravagant –la Gommeuse – envoyé par la poste, publié illico aux éditions Grasset, avec un joli succès.
Une vingtaine de romans destinés aux adultes suivront, publiés chez Grasset, Stock et Calmann-Lévy ; en parallèle, elle publie aussi des romans destinés à la jeunesse, une trentaine à ce jour, essentiellement aux éditions du Rouergue, ainsi que des albums pour enfants.
En 2019, excédée par la vie parisienne, elle saute le pas et s’installe dans un village escarpé et médiéval de Haute Loire, à cause d’Alexandre Vialatte et d’un ami antillais, auvergnat de coeur. Cette nouvelle vie, radicalement différente des précédentes, lui inspire de nouveaux romans : la Sourcière ; Diane l’Ensauvagée, Julien de la Révolte (à paraître)…
En janvier 2024, sortira au Rouergue Missak et Melinée, une histoire de l’affiche rouge, hommage aux époux Manouchian et à leurs 23 camarades résistants.
Elle aime par-dessus tout rencontrer ses lecteurs et lectrices jeunesse, n’importe où, dans les écoles, collèges, lycées agricoles et médiathèques, à l’ombre des arbres, dans les prés, parcs et jardins, et même en prison. Sa mission : donner aux jeunes de tous horizons le goût, voire la passion de lire, qu’elle a eu la chance de recevoir au berceau.
Chaque lundi, pour le plaisir, avec le concours d’une amie photographe de son village, elle publie sur facebook des portraits haut en couleur d’Auvergnats de cœur, d’adoption ou de naissance, rencontrés au hasard de leurs pérégrinations, qui leur semblent dignes d’intérêt ou piquent leur curiosité : Portraits du lundi – Elise Fontenaille / Vanessa Stupenda.
Elle a aussi ouvert dans sa stupéfiante demeure médiévale, à Auzon, un musée du pop up book, qui se visite à la demande.
Elle adore son métier d’auteure jeunesse.
Légende et crédits photo : Élise Fontenaille © Vanessa Stupenda
Elise Fontenaille est née à Nancy, au dernier millénaire.
Elle a fait de vagues études de sociologie et d’anthropologie à Toulouse et Bordeaux, avant de monter à la capitale, où elle est devenue journaliste, par hasard. Pendant une parenthèse captivante de deux années, elle vit et travaille à Vancouver, sur la côte ouest du Canada, puis elle rentre à Paris.
Après avoir donné naissance à deux enfants et s’être fait renvoyer de son journal, elle profite du chômage pour se lancer dans l’écriture d’un roman extravagant –la Gommeuse – envoyé par la poste, publié illico aux éditions Grasset, avec un joli succès.
Une vingtaine de romans destinés aux adultes suivront, publiés chez Grasset, Stock et Calmann-Lévy ; en parallèle, elle publie aussi des romans destinés à la jeunesse, une trentaine à ce jour, essentiellement aux éditions du Rouergue, ainsi que des albums pour enfants.
En 2019, excédée par la vie parisienne, elle saute le pas et s’installe dans un village escarpé et médiéval de Haute Loire, à cause d’Alexandre Vialatte et d’un ami antillais, auvergnat de coeur. Cette nouvelle vie, radicalement différente des précédentes, lui inspire de nouveaux romans : la Sourcière ; Diane l’Ensauvagée, Julien de la Révolte (à paraître)…
En janvier 2024, sortira au Rouergue Missak et Melinée, une histoire de l’affiche rouge, hommage aux époux Manouchian et à leurs 23 camarades résistants.
Elle aime par-dessus tout rencontrer ses lecteurs et lectrices jeunesse, n’importe où, dans les écoles, collèges, lycées agricoles et médiathèques, à l’ombre des arbres, dans les prés, parcs et jardins, et même en prison. Sa mission : donner aux jeunes de tous horizons le goût, voire la passion de lire, qu’elle a eu la chance de recevoir au berceau.
Chaque lundi, pour le plaisir, avec le concours d’une amie photographe de son village, elle publie sur facebook des portraits haut en couleur d’Auvergnats de cœur, d’adoption ou de naissance, rencontrés au hasard de leurs pérégrinations, qui leur semblent dignes d’intérêt ou piquent leur curiosité : Portraits du lundi – Elise Fontenaille / Vanessa Stupenda.
Elle a aussi ouvert dans sa stupéfiante demeure médiévale, à Auzon, un musée du pop up book, qui se visite à la demande.
Elle adore son métier d’auteure jeunesse.