Née en 1988, Bénédicte Muller a étudié l’illustration à l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg (HEAR). Elle vit et travaille aujourd’hui à Lyon, alterne entre commandes et projets personnels. S’ils ont pris des couleurs, ses dessins explorent toujours les mêmes logiques graphiques et narratives (jeux d’échelles, confusions des espaces, superpositions, entrelacements, transparences…). Ils trouvent régulièrement leur place dans la presse (Alternatives Économiques, Santé & Travail, The New Yorker, The New York Times, The Baffler, Rose Magazine, XXI, Le Monde…), l’édition (Payot et Rivages, Les Arènes) et d’autres univers comme celui de la recherche (Leroy Merlin Source) ou de la culture (Arall). Son premier livre illustré, La Minuscule Maman, (Magnani, 2019) est un récit qui, par des rôles soudainement inversés, met en scène la tendresse et les rivalités entre une mère et sa fille. Son second livre est en cours d’écriture.
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Née en 1988, Bénédicte Muller a étudié l’illustration à l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg (HEAR). Elle vit et travaille aujourd’hui à Lyon, alterne entre commandes et projets personnels. S’ils ont pris des couleurs, ses dessins explorent toujours les mêmes logiques graphiques et narratives (jeux d’échelles, confusions des espaces, superpositions, entrelacements, transparences…). Ils trouvent régulièrement leur place dans la presse (Alternatives Économiques, Santé & Travail, The New Yorker, The New York Times, The Baffler, Rose Magazine, XXI, Le Monde…), l’édition (Payot et Rivages, Les Arènes) et d’autres univers comme celui de la recherche (Leroy Merlin Source) ou de la culture (Arall). Son premier livre illustré, La Minuscule Maman, (Magnani, 2019) est un récit qui, par des rôles soudainement inversés, met en scène la tendresse et les rivalités entre une mère et sa fille. Son second livre est en cours d’écriture.