18 mai 2022. Conversation avec Mariana Enriquez (Notre part de nuit, trad. Anne Plantagenet, Éditions du Sous-Sol, 2021) et Mónica Ojeda (Mâchoires, trad. Alba-Marina Escalón, Gallimard, 2022. Modération Mathias Énard.
Mariana Enriquez
« Toute mon enfance s’est déroulée sous la dictature argentine, qui était très secrète. La peur était quelque chose qui était toujours dans l’air. »
Mónica Ojeda
« En écrivant, je voulais étudier l’émotion de la peur du point de vue littéraire : Comment arrive-t-elle, de quelle manière cette crainte est-elle liée à une pulsion de désir de vie ? C’est cette pulsion qui me pousse à être encore ici et qui m’a également amenée à écrire. »
18 mai 2022. Conversation avec Mariana Enriquez (Notre part de nuit, trad. Anne Plantagenet, Éditions du Sous-Sol, 2021) et Mónica Ojeda (Mâchoires, trad. Alba-Marina Escalón, Gallimard, 2022. Modération Mathias Énard.
Mariana Enriquez
« Toute mon enfance s’est déroulée sous la dictature argentine, qui était très secrète. La peur était quelque chose qui était toujours dans l’air. »
Mónica Ojeda
« En écrivant, je voulais étudier l’émotion de la peur du point de vue littéraire : Comment arrive-t-elle, de quelle manière cette crainte est-elle liée à une pulsion de désir de vie ? C’est cette pulsion qui me pousse à être encore ici et qui m’a également amenée à écrire. »