Rencontre avec l’autrice zimbabwéenne Tsitsi Dangarembga. Elle est l’autrice de Nervous Conditions (The Women’s Press, 1988), lauréat du Commonwealth Writers’ Prize, The Book of Not (Ayebia Clarke, 2006) et This Mournable Body (Faber and Faber, 2018), finaliste au Prix Booker en 2020. Directrice de l’Institute of Creative Arts for Progress in Africa Trust, elle favorise l’avancement artistique en Afrique. En 2021, elle devient la première femme noire à remporter le Prix PEN Pinter Prize et le prestigieux prix Peace Prize of the German Book Trade. En 2023 paraît en français Ce corps à pleurer (éd. Mémoire d’encrier, traduit de l’anglais par Nathalie Carré), récit de la vie brisée d’une jeune femme zimbabwéenne condamnée à vendre aux touristes son corps, et avec lui les charmes d’une Afrique fantasmée.
« Je voulais parler de ces jeunes femmes qui sont si peu considérées. Je voulais raconter l’histoire de ces jeunes femmes considérées comme sans histoire. Je voulais que ces jeunes femmes comprennent que leur histoire est importante. »
« Quand j’étais à l’université, j’ai pu lire des auteurs afro-canopéens, afro-américains comme Toni Morrison et je me suis dit à ce moment-là, si j’ai envie de lire ces histoires, autant les écrire moi-même. »
« Il était très important pour moi de parler de plusieurs formes de violence. […] J’ai vécu la guerre d’indépendance et ces expériences violentes font partie de moi. Il n’y a pas une famille au Zimbabwe qui n’a perdu personne pendant la guerre d’indépendance. »
Rencontre avec l’autrice zimbabwéenne Tsitsi Dangarembga. Elle est l’autrice de Nervous Conditions (The Women’s Press, 1988), lauréat du Commonwealth Writers’ Prize, The Book of Not (Ayebia Clarke, 2006) et This Mournable Body (Faber and Faber, 2018), finaliste au Prix Booker en 2020. Directrice de l’Institute of Creative Arts for Progress in Africa Trust, elle favorise l’avancement artistique en Afrique. En 2021, elle devient la première femme noire à remporter le Prix PEN Pinter Prize et le prestigieux prix Peace Prize of the German Book Trade. En 2023 paraît en français Ce corps à pleurer (éd. Mémoire d’encrier, traduit de l’anglais par Nathalie Carré), récit de la vie brisée d’une jeune femme zimbabwéenne condamnée à vendre aux touristes son corps, et avec lui les charmes d’une Afrique fantasmée.
« Je voulais parler de ces jeunes femmes qui sont si peu considérées. Je voulais raconter l’histoire de ces jeunes femmes considérées comme sans histoire. Je voulais que ces jeunes femmes comprennent que leur histoire est importante. »
« Quand j’étais à l’université, j’ai pu lire des auteurs afro-canopéens, afro-américains comme Toni Morrison et je me suis dit à ce moment-là, si j’ai envie de lire ces histoires, autant les écrire moi-même. »
« Il était très important pour moi de parler de plusieurs formes de violence. […] J’ai vécu la guerre d’indépendance et ces expériences violentes font partie de moi. Il n’y a pas une famille au Zimbabwe qui n’a perdu personne pendant la guerre d’indépendance. »