Autrice, Raphaëlle Guidée est également professeure de littérature comparée à l’Université Paris 8 et membre junior de l’Institut universitaire de France (IUF). Ses recherches s’intéressent aux intersections entre la littérature et les sciences sociales, ainsi qu’à la dimension politique des écritures contemporaines et aux humanités environnementales. Elle est l’autrice d’un essai sur la mémoire des catastrophes, Mémoires de l’oubli (Classiques Garnier, 2017), et a co-dirigé plusieurs ouvrages sur la littérature contemporaine, dont Hantologies (Kimé, 2009), Dire les inégalités (Presses Universitaires de Rennes, 2016) ou encore L’Apocalypse, une imagination politique (Presses Universitaires de Rennes, 2018). Son dernier ouvrage intitulé La ville d’après – Detroit, une enquête narrative (Flammarion, 2024) s’intéresse au vaste terrain de récits qui se sont emparés des ruines de Motor City au moment de la banqueroute de la ville, la décrivant tour à tour comme une ville fantôme post-apocalyptique ou une ville-jardin libérée du joug capitaliste. Envisageant le berceau du fordisme comme un laboratoire des imaginaires de l’effondrement et des mondes d’après, Raphaëlle Guidée part en quête de récits plus justes, susceptibles de décrire la complexité des mondes qui se recomposent dans les ruines du capitalisme.
Légende et crédits photo : Mode d'emploi 2024 Le samedi des idées villa gillet le 16 novembre 2024
Autrice, Raphaëlle Guidée est également professeure de littérature comparée à l’Université Paris 8 et membre junior de l’Institut universitaire de France (IUF). Ses recherches s’intéressent aux intersections entre la littérature et les sciences sociales, ainsi qu’à la dimension politique des écritures contemporaines et aux humanités environnementales. Elle est l’autrice d’un essai sur la mémoire des catastrophes, Mémoires de l’oubli (Classiques Garnier, 2017), et a co-dirigé plusieurs ouvrages sur la littérature contemporaine, dont Hantologies (Kimé, 2009), Dire les inégalités (Presses Universitaires de Rennes, 2016) ou encore L’Apocalypse, une imagination politique (Presses Universitaires de Rennes, 2018). Son dernier ouvrage intitulé La ville d’après – Detroit, une enquête narrative (Flammarion, 2024) s’intéresse au vaste terrain de récits qui se sont emparés des ruines de Motor City au moment de la banqueroute de la ville, la décrivant tour à tour comme une ville fantôme post-apocalyptique ou une ville-jardin libérée du joug capitaliste. Envisageant le berceau du fordisme comme un laboratoire des imaginaires de l’effondrement et des mondes d’après, Raphaëlle Guidée part en quête de récits plus justes, susceptibles de décrire la complexité des mondes qui se recomposent dans les ruines du capitalisme.