Dimanche 26 mai — 16h — Les SUBS Geetanjali Shree, écrivaine indienne de langue hindie invente des personnages aux psychés complexes, ses récits se développent en spirale, pour dire les vies d’individus qui cherchent à se défaire de ce qu’on a voulu leur faire être. Dans Ret samadhi (éd. des femmes – Antoinette Fouque, 2020, trad. Annie Montaut, Booker Prize), l’écrivaine raconte les métamorphoses d’une femme âgée qui se rebelle contre l’immobilité à laquelle elle était assignée. Le parcours de Simon Lamouret, illustrateur et auteur de bandes dessinées, est au moins aussi éclectique que son style, toujours à la recherche de nouveaux commencements et de détours imprévus. De son séjour de cinq ans à Bangalore, il tire Bangalore (Sarbacane, 2021), un roman graphique qui autorise le lecteur à se perdre dans les détails des aventures des habitants de la mégapole, puis L’Alcazar (Sarbacane, 2020), qui se concentre sur les travailleurs d’un chantier dans cette immense ville du sud de l’Inde.
Dimanche 26 mai — 16h — Les SUBS Geetanjali Shree, écrivaine indienne de langue hindie invente des personnages aux psychés complexes, ses récits se développent en spirale, pour dire les vies d’individus qui cherchent à se défaire de ce qu’on a voulu leur faire être. Dans Ret samadhi (éd. des femmes – Antoinette Fouque, 2020, trad. Annie Montaut, Booker Prize), l’écrivaine raconte les métamorphoses d’une femme âgée qui se rebelle contre l’immobilité à laquelle elle était assignée. Le parcours de Simon Lamouret, illustrateur et auteur de bandes dessinées, est au moins aussi éclectique que son style, toujours à la recherche de nouveaux commencements et de détours imprévus. De son séjour de cinq ans à Bangalore, il tire Bangalore (Sarbacane, 2021), un roman graphique qui autorise le lecteur à se perdre dans les détails des aventures des habitants de la mégapole, puis L’Alcazar (Sarbacane, 2020), qui se concentre sur les travailleurs d’un chantier dans cette immense ville du sud de l’Inde.