Jeudi 23 mai — 19h — Villa Gillet
Styliste de l’écriture, auteur engagé, écrivain fantasque, Italo Calvino, qui aurait eu 100 ans en 2023, a marqué le XXe siècle autant par son œuvre – Le Baron perché ou le Vicomte pourfendu ont été lu par des générations de jeunes lecteurs en Europe – que par le regard singulier qu’il porte sur son époque. Une conversation pour revisiter l’Europe des lettres au siècle dernier avec Martin Rueff, traducteur de l’italien, auteur des retraductions d’Italo Calvino pour les éditions Gallimard et éditeur d’un volume de La Pléïade à paraître au printemps 2024 et Ada D’Agostino, spécialiste de la littérature italienne du XXème siècle et de l’œuvre de Calvino. Elle est l’une des lauréates du Premio Residenza Italo Calvino 2024 organisé par l’Institut Culturel Italien de Lyon et le Ministero degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale.
Ada D’Agostino : « une partie du caractère humain de Calvino qui apparaît dans son écriture : le doute systématique »
Ada d’Agostino : « qui porte le lecteur à s’interroger sur le point de vue des autres, à ne pas considérer son point de vue comme hégémonique »
Marie Fabre : « Ce sont aussi des livres qui sont au plus près de l’expérience vécue, même à travers les paysages on retrouve la réalité. »
Jeudi 23 mai — 19h — Villa Gillet
Styliste de l’écriture, auteur engagé, écrivain fantasque, Italo Calvino, qui aurait eu 100 ans en 2023, a marqué le XXe siècle autant par son œuvre – Le Baron perché ou le Vicomte pourfendu ont été lu par des générations de jeunes lecteurs en Europe – que par le regard singulier qu’il porte sur son époque. Une conversation pour revisiter l’Europe des lettres au siècle dernier avec Martin Rueff, traducteur de l’italien, auteur des retraductions d’Italo Calvino pour les éditions Gallimard et éditeur d’un volume de La Pléïade à paraître au printemps 2024 et Ada D’Agostino, spécialiste de la littérature italienne du XXème siècle et de l’œuvre de Calvino. Elle est l’une des lauréates du Premio Residenza Italo Calvino 2024 organisé par l’Institut Culturel Italien de Lyon et le Ministero degli Affari Esteri e della Cooperazione Internazionale.
Ada D’Agostino : « une partie du caractère humain de Calvino qui apparaît dans son écriture : le doute systématique »
Ada d’Agostino : « qui porte le lecteur à s’interroger sur le point de vue des autres, à ne pas considérer son point de vue comme hégémonique »
Marie Fabre : « Ce sont aussi des livres qui sont au plus près de l’expérience vécue, même à travers les paysages on retrouve la réalité. »