Mercredi 22 mai — 19h — Villa Gillet
Modération : Gilles Heuré
Une conversation entre fiction et non-fiction pour interroger les récits et les mémoires de l’histoire portugaise. Avec Irene Flunser Pimentel, historienne spécialiste du Portugal au XXème siècle et Victor Pereira, auteur de C’est le peuple qui commande. La Révolution des œillets : 1974-1976 (Éd. Du détour, 2024), ouvrage qui renouvelle l’analyse de la révolution portugaise en intégrant les bouleversements politiques, militaires, sociaux du pays ainsi que les mouvements de décolonisation.
Victor Pereira : “Le 25 avril c’est une longue journée de désobéissance : désobéissance des militaires du FA, désobéissance de tous ceux qui ont été envoyés pour les arrêter et qui finalement décident de ne pas suivre, et désobéissance du peuple. »
Irene Flunser Pimentel : “Il n’y aurait pas eu de 25 avril sans guerre coloniale. C’était notre malchance et notre chance. Ce qui ont aussi fait le 25 avril, ce sont les mouvement de libération nationale des colonies. »
Interprétariat : Karina Barros
Mercredi 22 mai — 19h — Villa Gillet
Modération : Gilles Heuré
Une conversation entre fiction et non-fiction pour interroger les récits et les mémoires de l’histoire portugaise. Avec Irene Flunser Pimentel, historienne spécialiste du Portugal au XXème siècle et Victor Pereira, auteur de C’est le peuple qui commande. La Révolution des œillets : 1974-1976 (Éd. Du détour, 2024), ouvrage qui renouvelle l’analyse de la révolution portugaise en intégrant les bouleversements politiques, militaires, sociaux du pays ainsi que les mouvements de décolonisation.
Victor Pereira : “Le 25 avril c’est une longue journée de désobéissance : désobéissance des militaires du FA, désobéissance de tous ceux qui ont été envoyés pour les arrêter et qui finalement décident de ne pas suivre, et désobéissance du peuple. »
Irene Flunser Pimentel : “Il n’y aurait pas eu de 25 avril sans guerre coloniale. C’était notre malchance et notre chance. Ce qui ont aussi fait le 25 avril, ce sont les mouvement de libération nationale des colonies. »
Interprétariat : Karina Barros