Quel est le point commun entre la peur du vide, les doutes existentiels, et le sublime des paysages de montagne ?
Une même fragilité de notre relation au monde : le vertige.
Ce récit d’une ascension dans le massif du Mont-Blanc, où se côtoient les plus diverses formes de la perception, propose une philosophie du vertige portée par une langue vive et lumineuse.
Après La Vie solide, Arthur Lochmann continue d’explorer notre rapport à la matière et au sensible pour éclairer les instabilités contemporaines. Et retrouver notre ancrage dans le monde.
Quel est le point commun entre la peur du vide, les doutes existentiels, et le sublime des paysages de montagne ?
Une même fragilité de notre relation au monde : le vertige.
Ce récit d’une ascension dans le massif du Mont-Blanc, où se côtoient les plus diverses formes de la perception, propose une philosophie du vertige portée par une langue vive et lumineuse.
Après La Vie solide, Arthur Lochmann continue d’explorer notre rapport à la matière et au sensible pour éclairer les instabilités contemporaines. Et retrouver notre ancrage dans le monde.