Des millions de paysans et de paysannes, notamment en Inde ou en France, expérimentent des techniques et des démarches globales qui ouvrent un espoir immense. Ces expériences témoignent que l’agriculture peut renouer avec le vivant, assurer l’accès à une eau et une alimentation saines, lutter contre la pauvreté et les inégalités, et, au-delà, devenir une source de stabilité climatique, de renaissance de la biodiversité, de régénération des sols et de production vivrière performante. Ces approches sont souvent désignées sous le terme générique d’“agroécologie paysanne”, mais la militante indienne Vandana Shiva préfère les nommer “agriculture biologique régénérative”, actant ainsi un retour aux sources historiques de l’agriculture bio tout en affirmant une ambition nouvelle : réparer les dommages causés par l’agro-industrie. Car le modèle d’agriculture qui domine actuellement le monde est désastreux pour la biodiversité, le climat, les sols et les communautés paysannes – mais il n’est pas une fatalité.
Des millions de paysans et de paysannes, notamment en Inde ou en France, expérimentent des techniques et des démarches globales qui ouvrent un espoir immense. Ces expériences témoignent que l’agriculture peut renouer avec le vivant, assurer l’accès à une eau et une alimentation saines, lutter contre la pauvreté et les inégalités, et, au-delà, devenir une source de stabilité climatique, de renaissance de la biodiversité, de régénération des sols et de production vivrière performante. Ces approches sont souvent désignées sous le terme générique d’“agroécologie paysanne”, mais la militante indienne Vandana Shiva préfère les nommer “agriculture biologique régénérative”, actant ainsi un retour aux sources historiques de l’agriculture bio tout en affirmant une ambition nouvelle : réparer les dommages causés par l’agro-industrie. Car le modèle d’agriculture qui domine actuellement le monde est désastreux pour la biodiversité, le climat, les sols et les communautés paysannes – mais il n’est pas une fatalité.