Je sais qu’on se sent toujours fiévreux après les pluies ; et je reste longtemps en mer, aussi longtemps que mes vivres me le permettent. L’air que je respire alors me semble moins lourd qu’à terre, et invite à d’autres choses.
Je sais qu’on se sent toujours fiévreux après les pluies ; et je reste longtemps en mer, aussi longtemps que mes vivres me le permettent. L’air que je respire alors me semble moins lourd qu’à terre, et invite à d’autres choses.