Il se trouve qu’un été on a l’envie de voir les fresques de Piero della Francesca en Toscane, il se trouve qu’on les voit à l’heure du déjeuner et que cette coïncidence fait se frotter ce que l’on voit et ce que l’on mange ainsi que la mémoire de déjeuners amoureux. Ce Manger avec Piero est suivi d’un Risotto à la fraise dont la vanité réveille la simplicité des risotti de l’enfance, ceux de la grand-mère de la narratrice, grand-mère italienne émigrée en France dans une petite ville industrielle de Savoie.
Il se trouve qu’un été on a l’envie de voir les fresques de Piero della Francesca en Toscane, il se trouve qu’on les voit à l’heure du déjeuner et que cette coïncidence fait se frotter ce que l’on voit et ce que l’on mange ainsi que la mémoire de déjeuners amoureux. Ce Manger avec Piero est suivi d’un Risotto à la fraise dont la vanité réveille la simplicité des risotti de l’enfance, ceux de la grand-mère de la narratrice, grand-mère italienne émigrée en France dans une petite ville industrielle de Savoie.