Au sortir de la Première Guerre mondiale, quelques jeunes écrivains se saisissent d’un néologisme forgé par Guillaume Apollinaire : « surréalisme ». Leur propos est moins de fonder une nouvelle « école » que de s’engager dans une nouvelle aventure. Se refusant au cloisonnement des disciplines (littérature, peinture, cinéma) comme à celui des frontières (par son cosmopolitisme), l’histoire du surréalisme traverse le siècle.
Au sortir de la Première Guerre mondiale, quelques jeunes écrivains se saisissent d’un néologisme forgé par Guillaume Apollinaire : « surréalisme ». Leur propos est moins de fonder une nouvelle « école » que de s’engager dans une nouvelle aventure. Se refusant au cloisonnement des disciplines (littérature, peinture, cinéma) comme à celui des frontières (par son cosmopolitisme), l’histoire du surréalisme traverse le siècle.