« Quand vient le temps de se dire au revoir restent les mots-talismans. À l’un ou à l’autre, Pauline murmure : « Je pense à toi toute la nuit ! » Puis, l’un ou l’autre lui répond : « Moi aussi, ma chérie, je pense à toi toute la nuit… » Et c’est vrai, la pensée ne disparaît pas quand la conscience s’est assoupie. Elle lui survit et persiste… Au moment d’éteindre la lumière, il s’agit de se promettre encore qu’il n’existera pas de forme d’oubli où puisse s’effacer la présence de qui l’on a vraiment aimé. »
« Quand vient le temps de se dire au revoir restent les mots-talismans. À l’un ou à l’autre, Pauline murmure : « Je pense à toi toute la nuit ! » Puis, l’un ou l’autre lui répond : « Moi aussi, ma chérie, je pense à toi toute la nuit… » Et c’est vrai, la pensée ne disparaît pas quand la conscience s’est assoupie. Elle lui survit et persiste… Au moment d’éteindre la lumière, il s’agit de se promettre encore qu’il n’existera pas de forme d’oubli où puisse s’effacer la présence de qui l’on a vraiment aimé. »