Adomeit, personne ne l’a connu, tout le monde prétend le connaître. Il a vécu dans la compagnie des oiseaux, d’une gouvernante et de deux disciples. « Chacun est comme il est. Mais il était du genre à ne pas laisser en paix qui que ce soit autour de lui. » Il a lui-même réglé le scénario de ses obsèques et fixé au mardi de la Pentecôte, « le jour de la forêt », la lecture de ses dernières volontés, ultime pied de nez au conformisme et à l’hypocrisie. Toute la bourgade s’y presse.
Un chœur souvent cacophonique passe au crible relations familiales, amitiés, amours, rivalités et conflit des générations.
Adomeit, personne ne l’a connu, tout le monde prétend le connaître. Il a vécu dans la compagnie des oiseaux, d’une gouvernante et de deux disciples. « Chacun est comme il est. Mais il était du genre à ne pas laisser en paix qui que ce soit autour de lui. » Il a lui-même réglé le scénario de ses obsèques et fixé au mardi de la Pentecôte, « le jour de la forêt », la lecture de ses dernières volontés, ultime pied de nez au conformisme et à l’hypocrisie. Toute la bourgade s’y presse.
Un chœur souvent cacophonique passe au crible relations familiales, amitiés, amours, rivalités et conflit des générations.