Après « L’invention des corps » et « Le grand vertige », toujours en phase avec les vibrations du monde, Pierre Ducrozet change de focale pour raconter une famille dont l’astre vital est la musique, une famille où l’amour (et les malentendus) circulent dans toutes les tonalités. Où l’on retrouve son énergie, sa plasticité, sa vitesse au service d’une profondeur nouvelle dans une anti- saga affranchie des modèles, une histoire intime, sauvage et informelle de la musique au XXe siècle, un roman qui danse et qui sonne comme un concert et une tempête.
Après « L’invention des corps » et « Le grand vertige », toujours en phase avec les vibrations du monde, Pierre Ducrozet change de focale pour raconter une famille dont l’astre vital est la musique, une famille où l’amour (et les malentendus) circulent dans toutes les tonalités. Où l’on retrouve son énergie, sa plasticité, sa vitesse au service d’une profondeur nouvelle dans une anti- saga affranchie des modèles, une histoire intime, sauvage et informelle de la musique au XXe siècle, un roman qui danse et qui sonne comme un concert et une tempête.