« Faire son deuil », c’est l’impératif qui s’impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d’un proche. Mais se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s’il ne veut pas trop souffrir ? Vinciane Despret a commencé par écouter. « Je disais : je mène une enquête sur la manière dont les morts entrent dans la vie des vivants; je travaille sur l’inventivité des morts et des vivants dans leurs relations. » Une histoire en a amené une autre.
« Faire son deuil », c’est l’impératif qui s’impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d’un proche. Mais se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s’il ne veut pas trop souffrir ? Vinciane Despret a commencé par écouter. « Je disais : je mène une enquête sur la manière dont les morts entrent dans la vie des vivants; je travaille sur l’inventivité des morts et des vivants dans leurs relations. » Une histoire en a amené une autre.